Comment se déroule l’expérience européenne pour toi jusqu’ici? As-tu aimé visiter Vienne et Budapest, et maintenant Prague?
« Je suis tellement excité de voir tout ça. Il y a de nombreuses choses à voir ici. Nous sommes passés par Vienne et Budapest, c’était génial. De très, très beaux endroits. Ce sont vraiment de belles villes, des places où je n’étais jamais allé. C’était 'cool' de visiter tout ça, j’ai vraiment aimé ça. »
Est-ce que ce récent voyage en Autriche et en Hongrie s’est avéré une belle occasion pour toi et les gars d’Équipe Canada d’apprendre à vous connaître et de créer un bon esprit d’équipe?
« Oui, bien sûr. Se promener et découvrir de nouveaux endroits ensemble avec l’équipe, c’était vraiment très plaisant. Maintenant, nous devons nous réunir sur la glace et nous préparer. L’esprit d’équipe est la chose la plus importante. »
Tu pourrais affronter ton coéquipier, le gardien des Blackhawks Petr Mrazek, en ronde préliminaire quand le Canada va affronter la Tchéquie. As-tu hâte à cette confrontation?
« Oui, j’espère vraiment compter un but contre lui et pouvoir m’en vanter par la suite! Il a connu une saison incroyable pour nous. Il était notre meilleur joueur chaque soir, nous étions vraiment chanceux de pouvoir compter sur lui. C’est un gardien super talentueux. Même dans les entraînements, ce n’est pas facile de marquer contre lui. Mais j’espère que nous pourrons le déjouer à quelques reprises. Nous affrontons [la Tchéquie] seulement à la fin de la ronde préliminaire, alors j’espère que nous pourrons nous améliorer jour après jour avant d’en arriver là. »
Il y a plusieurs joueurs de centre au sein de la formation du Canada et il semble que tu pourrais être utilisé à l’aile. Quelle différence cela ferait-il pour toi?
« Je ne pense pas que je vais jouer au centre, mais dans chaque équipe internationale, j’ai l’impression que certains joueurs vont devoir jouer à une nouvelle position. Mais, vous savez, nous avons tous déjà joué à toutes les positions. Alors ce n’est pas un énorme ajustement pour nous. Et de toute façon, nous aurons du temps pour nous y habituer à mesure que le tournoi va progresser. »
De quelle façon penses-tu que le fait de jouer au Championnat du monde peut t’aider à faire évoluer ton jeu?
« Je pense que c’est bien de côtoyer ces gars-là, de voir comment ils se comportent sur la glace et en dehors. […] Et j’affronte aussi les meilleurs joueurs au monde comme je le fais dans la LNH, ça ne peut qu’aider. Je pense que ça va être bon pour moi, comme ce l’est pour tous les gars ici. »
« Tu n’as pas souvent joué sur une grande glace de taille internationale. Qu’anticipes-tu à ce niveau?
« Je ne sais pas trop. Je n’ai joué que quelques matchs quand j’avais environ 15 ans. Je ne me souviens pas de toutes les différences. Il y aura peut-être un peu plus d’espace sur la glace, mais on va voir. »