ATTAQUANTS
Kyle Connor – Auston Matthews – Clayton Keller
Jake Guentzel – Jack Hughes – Jack Eichel
Matthew Tkachuk – J.T. Miller – Brady Tkachuk
Chris Kreider – Vincent Trocheck – Adam Lowry
Autres options à considérer : Tage Thompson, Dylan Larkin, Jason Robertson
Un début de saison ne fait pas foi de tout, mais Kyle Connor, qui avait tout juste raté la coupure lors de la dernière mouture de cet exercice, s’est inséré dans la formation. Auteur de neuf buts et 17 points en 10 parties depuis le début du calendrier, celui qui a atteint le plateau des 30 buts à chacune de ses saisons complètes dans la LNH depuis le début de sa carrière avec les Jets de Winnipeg ne volera pas sa place au sein de l’attaque américaine.
Celui qui écope pour faire de la place à Connor est Jason Robertson des Stars de Dallas. Avec seulement quatre buts et six points à sa fiche, Robertson connaît un départ qui ne correspond pas à ses standards. Avec deux saisons de 40 buts derrière la cravate, Robertson a encore le temps de rebondir et de faire sa place au sein de l’un des quatre trios des États-Unis.
Tage Thompson a bien rebondi avec les Sabres de Buffalo après une saison 2023-24 décevante, et il fait son apparition dans les options à considérer. Un centre de sa stature pourrait être un atout, tout comme Dylan Larkin des Red Wings de Detroit, qui est également excellent dans le cercle des mises en jeu et en infériorité numérique.
Après une longue hésitation, le quatrième trio demeure inchangé. Chris Kreider, Vincent Trocheck et Adam Lowry vont pouvoir aider l’équipe à préserver une avance en fin de match, en plus de rendre de précieux services sur les unités spéciales. Parmi les 12 attaquants retenus dans le cadre de cet exercice, Trocheck est le meneur au chapitre du temps de jeu en infériorité numérique (2:04), et seul Auston Matthews (2:00) est utilisé en moyenne plus souvent par match à court d’un homme que Kreider (1:52) et Lowry (1:42). Trocheck (55,8 %) et Lowry (51,0 %) sont aussi très fiables dans le cercle des mises en jeu, un argument qui est aussi valable pour la candidature de Larkin (55,1 %).