Ceci étant dit et pour venir confirmer les paroles de Drouin, Pacioretty ne semblait pas comme quelqu'un qui était largement dépassé par l'attention dont il faisait l'objet en raison de son statut contractuel, et il a réaffirmé son amour pour Montréal une énième fois.
«Il y a une tonne de personnes dans la Ligue qui font face à cette situation sur une base annuelle» a-t-il partagé. «C'est juste que ma situation a pris de l'ampleur à cause d'où nous sommes et de qui je suis.»
«Je n'ai pas de contrôle sur cette situation. Mais à la fin de la journée, vous savez comment je me sens à propos de vivre ici. Je vis ici 12 mois par année. Mes enfants commencent l'école demain et nous sommes très excités à propos de cela.»
Sur ces paroles, Pacioretty s'est dirigé vers le départ et a profité d'une journée de golf entre amis, coéquipiers et partisans d'une bonne cause, tout en s'exprimant sur l'amour et le support qu'il a obtenu de la part de sa famille grandissante.
«Nous sommes très heureux. Il y aura beaucoup de testostérone dans la maison» s'est esclaffé Pacioretty, faisant référence au fait que sa femme, Katia, est enceinte avec le quatrième garçon du couple. «Nous verrons comment elle se sent, et si elle veut vraiment avoir une fille. Mais nous sommes très heureux de la façon dont est faite notre famille et vers quoi elle se dirige.»