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1. Question de Paul-Emile Boisvert, par Facebook.
«Quand un joueur brise un bâton, comment faites-vous pour lui en donner un aussi vite? Il y a quand même une vingtaine de joueurs et vous réussissez à lui donner le bon bâton en deux secondes!»
Les bâtons sont placés sur le banc par ordre de numéros. On vient qu'on connaît le bout (knob), parce que pour chaque gars, ce sont différentes couleurs, différentes formes.
Je ne m'occupe plus beaucoup de ça - c'est Pat (Langlois) ou Steamer (Pierre Ouellette). Mais admettons que Galchenyuk brise son bâton sur la glace, on devient tellement habitués qu'on sait exactement quel bâton prendre. On sait à peu près que dans le milieu du rack, c'est tel numéro, et les gardiens de but sont au bout, parce qu'on n'en a jamais besoin. Le truc est de connaître les bâtons, mais il ne faut pas oublier qu'on est là-dedans tous les jours. Ça ne prend pas beaucoup de temps pour les reconnaître. Généralement, lorsqu'un joueur de centre prend la mise en jeu pas loin du banc, on met tout le temps la main sur un autre de ses bâtons au cas où il le briserait. Alors si c'est le cas, c'est beaucoup plus rapide. On a des petits trucs comme ça.
Sauf que si on me mettait demain devant le rack à bâtons des Sharks de San José, ça ne serait pas pareil du tout!
2. Question de Ken Craig Pierre, par Twitter.
«Qui met le plus de temps sur ses bâtons?»
Carey met pas mal de temps sur ses bâtons. Plekanec aussi. Si on retourne plus loin, ce serait Mathieu Dandenault. C'était vraiment long!
3. Question d'Eric Crevier, sur Facebook.
«As-tu fauté sur le patin de P.K. Subban l'an passé?»
Je vais expliquer ce qui s'est passé, parce que ce n'est pas du tout ce que ç'a eu l'air!