L'attaquant de 27 ans va toucher en moyenne 3,5 millions $ par année.
« Ils ont une excellente équipe jeune qui est en croissance, ils ont d'excellents jeunes joueurs comme [Elias] Petersson, [Brock] Boeser et Bo Horvat, a souligné Ferland. Avec mon style, je pense que c'est une équipe où je vais cadrer à merveille. »
Ferland a récolté 40 points (17 buts, 23 passes) en 71 matchs de saison régulière avec les Hurricanes de la Caroline, et a ajouté une mention d'aide en sept matchs des séries éliminatoires de la Coupe Stanley. Les Hurricanes ont atteint la finale de l'Association de l'Est, avant de se faire balayer par les Bruins de Boston.
« Je pense qu'on a surpris beaucoup de gens aux quatre coins de la Ligue. Personne ne s'attendait à ce qu'on accomplisse cela, et nous l'avons fait avec un jeune groupe. Je vois la même chose à Vancouver. Je regarde les joueurs des Canucks, et les joueurs qu'ils ont acquis et je pense que c'est la prochaine étape pour Vancouver. Je pense pouvoir m'amener ici et aider. »
Les partisans des Canucks se souviendront des deux buts et de la passe obtenues alors qu'il était avec les Flames de Calgary pour permettre à son équipe de remporter une série contre Vancouver à son année recrue en 2015. Son jeu physique avait attiré les critiques du défenseur des Canucks Kevin Bieksa.
« C'est de cette façon que j'ai mis les pieds dans la LNH, a résumé Ferland. Je me souviens d'avoir été subjugué de jouer un match de séries à Vancouver, mais aussi à quel point la ville est belle. L'atmosphère qu'il y avait dans l'aréna, c'était très excitant. Ça m'a fait prendre de la maturité en tant que joueur.
« Quand j'ai fait le saut dans la Ligue, j'étais un joueur de soutien, défensif. J'aimais terminer mes mises en échec et envoyer la rondelle en fond de zone. Mais avec les années, j'ai prouvé que je peux évoluer avec des joueurs de haut niveau. J'ai beaucoup appris dans les dernières années. »