Des problèmes en zone défensive : Les Flyers ont connu des difficultés toute la saison en territoire défensif, que ce soit la chimie entre les défenseurs, les mauvaises couvertures défensives, les attaquants qui ne se repliaient pas pour aider leurs défenseurs ou les sorties de zone. Les problèmes défensifs ont exacerbé les déboires devant le filet, qui ont fait en sorte que les Flyers ont accordé en moyenne 3,56 buts par match, un sommet dans la LNH.
Unités spéciales : Le taux d'efficacité de 72,9 pour cent de Philadelphie en infériorité numérique est le deuxième pire de la LNH (Devils du New Jersey, 69,9) et il représente une baisse par rapport à la saison dernière, alors que les Flyers avaient été 11e à ce chapitre avec une efficacité de 81,8 pour cent. Les Flyers ont accordé au moins trois buts en avantage numérique dans une rencontre à quatre reprises, le deuxième plus haut total dans la LNH derrière les Predators de Nashville (cinq fois). Le jeu de puissance est bon pour le 20e rang (19,6 pour cent), mais Philadelphie a accordé cinq buts en jouant avec l'avantage d'un homme, à égalité avec six équipes pour le troisième plus haut total dans la LNH.
Un mois de mars catastrophique : Les Flyers occupaient le quatrième rang de la section Est à la fin du mois de février, trois points derrière les Capitals de Washington et le premier rang et deux points devant les Penguins de Pittsburgh et la cinquième place. Mais 17 parties en 30 jours au mois de mars auront été une trop lourde commande pour les joueurs. Les Flyers ont conservé un dossier de 6-10-1, accordant en moyenne 4,41 buts par match, et ils ont terminé le mois au cinquième rang de leur section, trois points derrière les Bruins de Boston et la quatrième place.