LNH.com vous propose un classement des 50 meilleurs défenseurs de la LNH pour les poolers en tenant compte de statistiques attendues bien précises : les buts, les mentions d'aide, les points en avantage numérique, les tirs au but, les mises en échec et le différentiel.
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Classement des 50 meilleurs défenseurs
BLÉ. = Blessé, mais réévalué sur une base quotidienne
SUS. = Suspendu
- Cale Makar, COL
- Rasmus Dahlin, BUF
- Quinn Hughes, VAN
La fiche de six points (un but, cinq passes) en six matchs de Hughes ne surprendra absolument aucun pooler, mais son nombre de tirs détonne. Le petit défenseur en a décoché 20 jusqu’ici (é-3e parmi les défenseurs), soit une moyenne de 3,3 lancers par rencontre, du jamais vu pour Hughes en carrière. S’il maintient un tel rythme, il terminera la saison avec plus de 250 lancers, ce qui pulvériserait son sommet personnel (154 la saison dernière). En conservant un pourcentage de tirs de plus ou moins cinq pour cent, comme c’est le cas depuis le début de sa carrière, et avec un peu de chance, Hughes pourrait flirter avec le plateau des 15 buts cette saison, un seuil que seuls neuf défenseurs ont atteint la saison dernière. Ce serait une contribution inattendue dans les ligues à catégories multiples, alors que Hughes est surtout reconnu pour les mentions d’aide et les points en avantage numérique qu’il met au tableau (sommet de huit buts en carrière).
- Miro Heiskanen, DAL
- Erik Karlsson, PIT
- Dougie Hamilton, NJD
- Adam Fox, NYR
- Josh Morrissey, WPG
- Evan Bouchard, EDM
- Victor Hedman, TBL
- Shea Theodore, VGK
- Roman Josi, NSH
- Zach Werenski, CBJ
- Alex Pietrangelo, VGK (BLÉ.)
- Jake Sanderson, OTT
Sanderson a été déployé sur la deuxième vague du jeu de puissance lors des trois premiers matchs de la saison des Sénateurs d’Ottawa, ce qui ne l’a pas empêché d’inscrire un but et une passe dans cette facette du jeu et trois points au total. Devant autant de succès, l’entraîneur D.J. Smith n’a eu d’autre choix que de muter son jeune défenseur sur la première unité d’avantage numérique, et ses succès se sont poursuivis. Sanderson a ajouté deux buts et deux aides, dont un filet avec l’avantage d’un homme, si bien qu’il se trouve aujourd’hui à égalité au quatrième rang des pointeurs (7) parmi les arrières de la LNH. Le jeu de puissance des Sénateurs affiche une efficacité de 22,2 pour cent, et l’équipe inscrit plus de quatre buts par rencontre (4,17). S’il maintient ce rôle, Sanderson devra être considéré comme un défenseur capable de récolter une cinquantaine de points cette saison dans un tel environnement. C’est la raison pour laquelle il est propulsé vers le haut du classement et que son coéquipier Chabot dégringole. Le Québécois est le grand perdant de ce remaniement.