Andrei Kuzmenko sera en uniforme alors que les Canucks de Vancouver seront les hôtes des Ducks d’Anaheim mardi (22 h HE; SNP, BSSC, BSSD) après avoir été laissé de côté au cours des deux derniers matchs.
L’attaquant de 27 ans n’était pas de la formation dans la victoire de Vancouver 5-1 contre le Kraken de Seattle vendredi ni pour le revers de 4-3 contre les Sharks de San Jose samedi. Il a toutefois retrouvé sa place aux côtés d’Elias Pettersson et Ilya Mikheyev à l’entraînement lundi. Kuzmenko a récolté 14 points (trois buts, 11 passes) en 19 matchs cette saison, malgré le fait qu’il a patiné presque exclusivement sur le premier trio et la première vague du jeu de puissance. Il a amassé 74 points (39 buts, 35 passes) en 81 parties la saison dernière, sa première dans la LNH.
« Il s’agit d’un moment très intéressant pour moi, a mentionné Kuzmenko. Il y a plusieurs moments où je dois être meilleur, que ce soit en échec avant, en repli ou en défensive. Je dois simplement faire le jeu simple. Je dois mieux jouer. »
Kuzmenko a disputé huit saisons dans la Ligue continentale de hockey (KHL) dans sa Russie natale avant d’accepter un contrat de recrue d’un an avec les Canucks le 14 juillet 2022. Il a paraphé une entente de deux saisons d’une valeur de 11 millions $ (moyenne annuelle de 5,5 millions $) avec Vancouver le 26 janvier, quatre jours après que Rick Tocchet eut remplacé Bruce Boudreau comme entraîneur. Il a inscrit 20 de ses 39 buts en 36 matchs après le changement derrière le banc.
Tocchet a toutefois souligné que son pourcentage de tirs de 27,3 pour cent que Kuzmenko a affiché la saison dernière n’était pas soutenable, et qu’il devait voir l’attaquant mieux jouer loin de la rondelle dorénavant.
« Lorsque la rondelle est en zone neutre, les joueurs doivent se dépêcher de se replier afin de devenir des options dans l’éventualité où ses coéquipiers doivent sortir par le centre ou encore faire circuler la rondelle le long de la rampe, il faut être là. Ce sont de petites choses auxquelles j’accorde de la valeur, a expliqué Tocchet. Il ne s’agit pas seulement de marquer des buts. Si vous ne marquez pas de buts, ce n’est pas grave, les marqueurs aussi vont traverser des périodes creuses. Les petites choses sont importantes, et elles font partie de notre identité, et il doit comprendre que c’est comme notre Bible. »
