17. Erik Karlsson, PIT
18. Drew Doughty, LAK
Même à 34 ans, Doughty trouve le moyen d’être un joueur d’impact pour les Kings, et il en fait la preuve par mille depuis quelques semaines. À ses neuf dernières rencontres, Doughty a récolté 11 points (trois buts, huit passes) et conservé un différentiel de plus-4. Il a décoché 19 tirs, ce qui correspond à sa moyenne par match depuis le début de la saison, mais a aussi récolté six points en avantage numérique, soit plus du tiers de sa récolte de toute la saison. Les Kings affichent un rendement de 33,3 pour cent sur le jeu de puissance depuis le début de la fructueuse séquence de Doughty, ce qui n’est pas soutenable à long terme, surtout avec la blessure subie par l’attaquant Adrian Kempe, mais Doughty a prouvé qu’il demeurait l’homme de la situation, et qu’il n’est pas encore disposé à céder sa place à Brandt Clarke et compagnie.
19. Filip Hronek, VAN
20. Thomas Harley, DAL
21. Brock Faber, MIN
22. Kris Letang, PIT
23. Thomas Chabot, OTT
24. Noah Hanifin, CGY
25. Shayne Gostisbehere, DET
26. John Carlson, WSH
27. Moritz Seider, DET
28. Jakob Chychrun, OTT
29. Brandon Montour, FLA
30. Devon Toews, COL
31. Sean Durzi, ARI
32. Rasmus Andersson, CGY
Heureusement pour les poolers, Andersson a affiché un peu plus de vigueur au cours des dernières semaines, mais ce n’est pas suffisant pour effacer son piètre rendement depuis le début du mois de février. À ses 13 derniers matchs, le Suédois a récolté seulement quatre mentions d’aide, dont une seule en avantage numérique, même s’il a toujours évolué sur l’une des deux premières vagues du jeu de puissance, et un faible total de 21 tirs. Dans le rayon des bonnes nouvelles, le départ de Noah Hanifin, qui semble imminent si on se fie aux rumeurs de transactions, devrait lui permettre d’assumer plus de responsabilités offensives dans la dernière ligne droite de la saison.