Pour connaître un bon match, les Jets devront miser sur leur vitesse et empêcher les Golden Knights de se nourrir de l'énergie de la foule.
« On ne peut pas s'attarder aux choses qu'on ne peut pas contrôler. On ne peut pas contrôler la foule ou l'autre équipe, tout ce qu'on peut faire faire, c'est contrôler ce qu'on fait sur la glace, ce que notre équipe fait, et ce sera notre objectif lors du match no 3 », a précisé Scheifele.
Pour l'entraîneur-chef des Jets, Paul Maurice, peu importe si c'est sur la route ou à domicile, son équipe ne doit pas dévier de son identité première.
« Nous connaissons notre identité, je ne pense pas que ça change beaucoup, qu'on soit à la maison ou sur la route. Nous avons joué dans plusieurs arénas bruyants. Au Minnesota, c'était très bruyant et après avoir joué là-bas, je crois que nous sommes immunisés. Même chose à notre domicile, cela nous prépare adéquatement », a soutenu Maurice.
Depuis le début du tournoi printanier, les équipes visiteuses semblent connaître beaucoup de succès. L'avantage de la glace ne semble plus avoir la même signification qu'à une certaine époque. En effet, les équipes à domicile ne jouent pas pour ,500 depuis le début du tournoi printanier (33-39).
« C'est peut-être en raison de la parité. C'était un très gros avantage avant. Peut-être que c'est la structure des séries maintenant qui change la donne […] Mais n'oublions pas que les jeunes qui font leur entrée dans la LNH sont rendus habitués de jouer dans de grands amphithéâtres, devant des foules intimidantes. Cela ne les dérange plus », a ajouté Maurice.
Après une défaite de 3-1 lors du dernier match, les Jets tenteront ainsi de rebondir lors du match no 3 et prendre l'avance dans la série. Ils tenteront de poursuivre sur leur lancée sur les patinoires adverses. Le plan de match ne changera pas.
« C'est un match crucial. Nous avons rebondi après chaque défaite jusqu'ici, alors nous devons faire la même chose. C'est un gros match et nous devons être à notre mieux », a conclu Perreault.