Il sera intéressant de voir les responsabilités qui seront confiées à Grzelcyk, surtout en avantage numérique. Grzelcyk a paraphé un contrat de quatre ans d'une valeur de 14,75 millions $ au cours de l'été, ce qui indique que les Bruins sont prêts à lui confier un rôle beaucoup plus important. Ça risque d'être notamment le cas en avantage numérique, alors que Grzelcyk pourrait fort bien diriger la première vague du jeu de puissance en relève à Krug. Il ne s'agit pas d'une mince responsabilité, puisque les succès des Bruins l'an dernier ont largement reposé sur leur intimidant avantage numérique. Boston a terminé au deuxième rang de la LNH avec un rendement de 25,2 pour cent.
« Il s'agit de toute évidence d'un important défi », a reconnu Grzelcyk, auteur de sept points (un but, six passes) en avantage numérique la saison dernière. « Nous nous fions beaucoup à notre jeu de puissance afin de générer de l'attaque et ainsi connaître du succès tout au long de la saison. La première vague regorge de joueurs offensifs de premier plan. Torey est évidemment un joueur très spécial. Ce n'est pas toujours facile d'occuper ce rôle. »
Finalement, plusieurs jeunes défenseurs auront la chance de décrocher un poste. En tête de liste, on retrouve le Finlandais Urho Vaakanainen et le Québécois Jérémy Lauzon.