Le 26 mai 1995 au matin, un vendredi, j'ai dû me rendre très tôt sur la colline Parlementaire au coeur de Québec parce que j'avais une entrevue de planifiée avec un réseau de télévision anglophone, je ne sais plus trop lequel. La journée s'annonçait ensoleillée, mais la Grande Allée était complètement déserte. On aurait pu croire qu'elle s'était figée dans le temps, si ce n'avait été que du léger vent qui balayait les derniers relents du printemps.
Un lendemain de veille pas comme les autres sur Grande Allée
Notre journaliste Robert Laflamme se remémore comment il a vécu le départ des Nordiques de Québec, il y a 25 ans