Déboires offensifs : Après avoir pris le deuxième rang de la LNH en marquant 3,58 buts par match (43 buts en 12 matchs) au cours des deux premières rondes des séries (derrière l'Avalanche du Colorado, qui a inscrit en moyenne 3,80 buts par rencontre), la production des Islanders a considérablement ralenti contre le Lightning. New York a inscrit seulement 1,57 but par match (11 buts en sept parties), n'a pas marqué plus de trois buts dans un match et a été blanchi à deux reprises dans la série. Palmieri, qui a mené les Islanders avec sept buts lors des deux premières rondes, n'a enregistré aucun point en demi-finale. Jean-Gabriel Pageau n'a également pas inscrit de point dans la série après avoir mené les siens avec 13 points (trois buts, 10 passes) dans les deux premières rondes.
Unités plus ou moins spéciales :Les Islanders ont eu du mal à contenir l'avantage numérique du Lightning, qui a affiché un rendement de 5-en-17 (29,4 pour cent) dans la série, et ont connu des ennuis sur leur propre jeu de puissance. New York n'a marqué qu'un seul but en 17 tentatives (5,9 pour cent) et a accordé le but gagnant en infériorité numérique à Yanni Gourde dans le match no 7.
Du hockey de rattrapage :New York a été dominé 6-1 dans les premières périodes de la série et a accordé le premier but dans cinq des sept matchs. Cette tendance s'est répétée tout au long des séries pour les Islanders; en première période, ils ont été dominés 18-8, n'ont pas mené après la première période dans aucun de leurs 19 matchs, et ont alloué le premier but à 13 reprises.