Coyotes de l’Arizona : Une étagère. Avec la surprenante saison que connaissent les Coyotes, l’entraîneur-chef André Tourigny pourrait voir son nom apparaître parmi les favoris pour remporter le trophée Jack-Adams, remis au pilote de l’année dans la LNH. Il faudra bien trouver un endroit où placer cette belle récompense.
Blackhawks de Chicago : Un calendrier qui commence en juin. Avec les prouesses de Connor Bedard depuis le début de la saison, les Blackhawks doivent avoir hâte de mieux l’entourer. Mais pour y arriver, ils devront attendre au mois de juin, avec possiblement le premier choix du prochain repêchage, et le 1er juillet, date d’ouverture du marché des joueurs autonomes.
Avalanche du Colorado : Un Erik Johnson. Parmi les équipes actuellement en séries éliminatoires dans l’Association de l’Ouest, l’Avalanche est celle qui a permis le plus de buts (103). Il manque au Colorado un défenseur qui fait preuve de stabilité, quitte à sacrifier de l’offensive. Un Erik Johnson. En effet, lors de son passage de 13 saisons à Denver, le défenseur de 35 ans effectuait ce travail à merveille, avant de prendre le chemin de Buffalo l’été dernier. Bien évidemment, l’Avalanche n’a pas besoin que ce joueur soit Erik Johnson lui-même, mais comme les Sabres sont en mauvaise posture pour participer aux séries, et que Johnson sera joueur autonome sans compensation au terme de la saison, qui sait si le père Noël ne va pas faire un arrêt à Buffalo avant de s’envoler pour le Colorado.
Stars de Dallas : Le cadeau des Stars n’est pas au pôle Nord, mais plutôt à Cedar Park, au Texas. Que retrouve-t-on à Cedar Park? Le H-E-B Center, domicile des Stars du Texas, le club-école de la LAH de Dallas, au sein duquel deux jeunes joueurs de l’organisation brûlent tout sur leur passage : Logan Stankoven et Mavrik Bourque. Le jour où les Stars décideront de rappeler les deux attaquants pourrait être tout un cadeau pour l’entraîneur-chef Peter DeBoer.
Wild du Minnesota : Des yeux derrière la tête. Le gardien Marc-André Fleury écoule la dernière année de son contrat, et à 39 ans, il se pourrait bien qu’il s’agisse de sa dernière saison dans la LNH. Si c’est effectivement le cas, les joueurs du Wild devront surveiller leurs arrières, puisque Fleury est reconnu comme l’un des meilleurs joueurs de tours de la LNH. Si en plus, il n’a plus à courir le risque d’être victime de sa propre médecine dans les prochaines années, il risque d’être impitoyable!